Arrivée des Etats‑Unis dans les années 70, la fermette s’est rapidement imposée dans le secteur de la construction pour des raisons essentiellement économiques.
A l’inverse d’une charpente traditionnelle ou d’une charpente en lamellé‑collé, la fermette utilise peu de matière du fait de l’optimisation extrême des sections de bois. Réalisée à partir de bois de section 36 ou 47 mm de type résineux (épicéa ou sapin), elle combine légèreté et résistance structurelle.
Préfabriquée en usine, les fermettes s’assemblent très rapidement. Sur site, elles sont posées les unes derrière les autres et reliées entre elles par des lisses ; l’ensemble ainsi contreventé permet d’assurer la stabilité de l’ouvrage selon les dispositions du DTU 31.3.